عنوان الموضوع : ارجو المساعدة فى مادة الغة الفرنسية اولى ثانوي
مقدم من طرف منتديات الضيافة العربية

اريد مساعدة فى انترفيو مع شخصية مشهورة تتمثل فى اسئلة عن حياته وكيفية دخوله عالم الشهرة وماهى الانجازات التى حققها وجزاكم الله الف خير



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>>>> الرد الأول :

اين الردود

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>>>> الرد الثاني :

interview avec un chanteur de RAI


- Cheb seddik , vous dites que la raison du recul de la chanson algérienne est le public qui n’écoute plus cette musique locale. Mais ne pensez-vous pas que la qualité de cette musique, qui reste relativement médiocre par rapport à celle qui vient d’ailleurs, serait derrière tout ça ??

• Ah non mon ami. Avant oui, on avait un problème de qualité. Le temps de Rabah Deriassa, Ahmed Wahbi, Kh’lifi Ahmed, Guerrouabi, ElHessnaoui et les autres. Mais maintenant, ce problème n’existe plus. Vous pouvez écouter des produits de Kheira ou Cheb Hassen, la qualité est vraiment excellente. C’est fini la cassette super longue durée, maintenant on enregistre sur des CD de très bonne qualité.

- Non monsieur, vous ne m’avez pas compris. Je ne parle pas de la qualité de l’enregistrement, mais bien de la qualité de la chanson.

• Mais quelle qualité exactement ?? On a plusieurs qualités, on a le raï, le chaâbi, le kabyle, le staïfi et d’autres !!! Vous voyez, y’en a plusieurs qualités et c’est au client de choisir selon ses goûts.

- Ca, c’est les genres Cheb Seddik. Passons à autre chose. Vous dites : C’est au client de choisir. Le fait que l’artiste appelle son public, clients ; est ce normal ??

• C’est tout à fait normal, le client c’est le roi, le public c’est le roi, donc le public c’est le client.

- C’est sur, je ne dis pas le contraire. Mais ça sonne commerce quand on dit client. N’est ce pas ??

• Pas forcément. Un avocat par exemple, il ne vend rien à son client, au contraire, il lui achète son innocence. Mais il l’appelle : Mon client. Nous, nous sommes les avocats de notre public, il est donc notre clientèle.

- Les arguments, ça ne manque pas !! Mais pourquoi on ne trouve pas dans vos chansons cette intelligence dont vous venez de faire preuve ??

• Non, dans nos chansons y a beaucoup d’intelligence, mais c’est vous qui ne nous comprenez pas, contrairement à nos clients qui comprennent tout.

- Par exemple ?? !

• Par exemple, quand on dit : Ya bènte m’ma (ش fille de ma mère), en parlant de la copine, ça ne vous parait pas faux ??

- Si. D’ailleurs je me demandais toujours pourquoi vous dites ça !!!

• Il faut juste être intelligent. La copine, c’est l’âme sœur. La sœur, c’est la fille de votre mère. Votre copine c’est l’âme fille de votre mère. Vous voyez ce que je veux dire ??

- Parfait !!!! Fallait y penser. Cheb Seddik, un dernier mot.

• Bonne fête à toutes les femmes algériennes et algériens.

- Ah, attendez. Algériennes, c’est clair, mais femmes algériens ???

• Je veux dire les femmes des deux sexes, féminin et masculin (les femmes d’origines et les femmes Taiwan, comme on dit). Soyez intelligents.

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>>>> الرد الثالث :

ها هو الثاني :


RAP R&B: kenza ou farah ?
KENZA FARAH: kenza farah(rires)
jai pas de preference pour l'un ou l'autre.les 2 c'est moi !

RAP R&B: le rap ou le r'n'b ?
KENZA FARAH: le hip hop !
Parce que ça englobe tout .Je me sens plus hip hop que r'n'b
quand on ecoute mon album finalement c'est assez electrique
jai des prods rappeurs, donc c'est pas seulement r'n'b !

RAP R&B : la france ou l'algerie ?
KENZA FARAH : la france c'est mon pays d'accueil et l'algerie mon pays natal
Cest comme si on me demandait qui je prefere entre ma mere et mon pere.

RAP R&B:marseille ou miami ?
KENZA FARAH : marseille sans hesiter !

RAP R&B: les etudes ou la musique ?
KENZA FARAH: la musique !Tres tot je savais
que je voulais me consacrer a la musique.....

RAP R&B:les MJC ou les salles de concerts ?
KENZA FARAH :les MJC parce que c'est lié à mon histoire, à mon parcours
C'est la que j'ai commencé.J'ai connu des concerts chaleureux chaleureux là bas
C'est tout ce que je connais aussi, parce que jai pas encore eu l'occasion
de faire des grandes salles.Donc ca va me faire drole d'attaquer une tournée
mais petit a petit japprends !

RAP R&B: beyonce ou rihanna ?
KENZA FARAH :rihanna ! jaime autant son style que sa musique
elle est jeune elle fait sa place !Et jai beaucoup aimé son clip UMBRELLA !

RAP R&B:justin ou akon ?
KENZA FARAH : akon.ca me parle plus,son univers,sa voix ....

RAP R&B: skyblog ou myspace ?
KENZA FARAH :skyblog !j'essaie d'etre autant tjr autant connecté
Pour suivre le truc....y a aussi mes copines et mes soeurs qui sont là pour me donner un coup de main !

RAP R&B:tatouage ou bijoux ?
KENZA FARAH:bijoux ! pas de tatouage !!!!!!

RAP R&B: booba ou rohff ?
KENZA FARAH: sefyu molotov !!! j'aime beaucoup booba et rohff
mais comme c'est difficile de choisir entre les deux deux !je prefere dire sefyu parce que pour
moi il est au meme niveau.Jaime les trois mais y'a des affinités avec sefyu parce qu'il a bossé
sur mon album !En plus il vient d' Aulnay-sous !Il n'est passeulement arrivé avec un flow
il aa vraiment trouvé un univers bien a lui !C'est quelqun de tres humble
et je suis sur qu'il n'a pas fini de monter ! il a un tres gros potentiel !

RAP R&B: les secrets ou la verité ?
KENZA FARAH : la verité ! bien sur je garde aussi quelque
secrets de côté, comme toutes les filles !Mais ça c'est caché dans mon coeur !

RAP R&B: Star academy ou secret story ?
KENZA FARAH :aucun des deux !

RAP R&B:les gadjis ou les gadjos ?
KENZA FARAH rires) léquipe de karismatik c'est une equipe de gadjos
mais chez moi on est cinq filles a la maison !
donc autour de moi ya des gadjis et des gadjos !

RAP R&B: le mariage ou le divorce ?
KENZA FARAH :le mariage, mis pas pour l'instant ! Dans quelques années inch' allah

RAP R&B:les sims ou PES ?
KENZA FARAH:PES ! Ca va j'me debrouille !j'ai un bon petit niveau
et je joue bien sur avec l'OM !De toute façon meme les parisiens ils prennent l'OM
J'comprends pas (rires)!!!!!!!

RAP R&Bsy4 ou FF ?
KENZA FARAH :les 2 ! FF c'etait plus dans mon enfance.Et psy4 ça fait aussi partie de marseille
aujourd'hui.Ils sont incontournables !

RAP R&B: les films d'horreur ou les comedies ?
KENZA FARAH : les comedies ! j'aime bien aussi les one man show.Dans le genre
mon comique prefere c'est jamel debbouze ...

RAP R&B:coup de blues ou coup de gueule ?
KENZA FARAH :coup de boule(rires) les coup de gueules c'est normal
mais je ne suis pas non plus tout le temps en train de pousser des coup de gueules pour rien !
Et les coup de blues ça fait partie de la vie donc je dirais les 2

RAP R&B:dj ou musiciens ?
KENZA FARAH :dj pour ma tournée sur scene je serais d'ailleurs avec dj M.ice
Je ferai peut etre un piano voix pour des morceuax comme Cris de bosnie ou Toi et Moi
mais pour le reste ce sera surtt un dj et des danseurs .on va vraiment essayé de faire un truc vivant et convivial !

RAP R&B: PS3 ou WII ?
KENZA FARAH : PS3

RAP R&B: survets ou jeans ?
KENZA FARAH: survets !

RAP R&B : jordan ou tony parker ?
KENZA FARAH : jordan! c'est vrai qu 'aujourd'hui tony parker lui aussi il fait rever les jeunes
peut etre que ma petite soeur en grandissant elle sera plus tony parker
mais moi quand on dit basket je pense automatiquement a jordan !

RAP R&B : le noir ou le blanc ?
KENZA FARAH : c'est ce que je portes le plus donc difficile de choisir de choisir entre les deux !

RAP R&B: halla halla ou a la bien ?
KENZA FARAH : (avec l'accent ndlr)a la bien cousin !!!!!
J'aime beuacoup ce morceau et le clip qui va avec !Il ma fait rire et il m'a fait chaud au coeur
De toute façon j'aibien aimé l'album de sopra .ET a la bien reflete bien bien l'esprit marseillais
C'est une expression typiquement marseillaise ! on le dit tjr !
Mais depuis que je traine avec karismatik on dit "c'est mlerhh ! " ça veut dire (en rebeu ndlr):c'est bien !

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>>>> الرد الرابع :

هاهو الثالث هذا مع أستاذة تاع فرنسية

Pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je m’appelle noura Je suis professeur de français à l’Université d’Etat de l’Oural, à Tcheliabinsk, à 2000 km de Moscou. C’est une ville de deux millions d’habitants située dans une région très industrielle. Cette université, anciennement de formation militaire, offre un apprentissage diversifié de langues. Si l’anglais est choisi en première langue, le français est parmi les secondes langues les plus choisies, avec l’allemand et l’italien.
Comment avez-vous découvert le français ?
A 11 ans, le choix d’une langue étrangère s’impose. Entre anglais et français, j’ai choisi sans hésiter le français même si je ne connaissais rien de la langue. De fil en aiguille, j’ai découvert la langue, appris à l’aimer et j’ai fini par en faire mon métier.
Pourquoi aimez-vous la langue française ?
J’ai beaucoup de plaisir à entendre parler français par des natifs, je trouve que c’est une belle langue. De plus, le français permet d’exprimer très précisément une idée : c’est une langue plus concise que l’anglais et que le russe, par exemple.
Selon vous, quelle chanson symbolise le mieux la langue française et la France ?
C’est difficile à dire comme ça. La première chanson qui me vient à l’esprit est « Qu’est-ce que tu fais de moi » de Joe Dassin.
Parlons un peu de vos cours et de vos étudiants. Comment réussissez-vous à intéresser les étudiants en cours ?
Il faut d’abord les impressionner et leur faire aimer la langue. Pour cela, je privilégie l’usage de chansons et de textes poétiques. Il faut aussi parler de choses qui les touchent. Par exemple, à la fin de la troisième année, je leur fais découvrir Le Petit prince de Saint-Exupéry qui permet d’aborder des sujets cruciaux comme l’amour, l’amitié. Les étudiants sont très touchés et ils se demandent souvent pourquoi lire ce livre en français les fait pleurer, alors qu’en russe rien ne se produit.
Selon eux le français est « un globe où les gens se rencontrent, partagent ».
J’ai appris que vous organisiez une fête de la langue française dans votre université. En quoi consiste-t-elle ?
Il s’agit de faire une fête de la langue sous le signe de la joie, du plaisir. Elle existe depuis 3 ans et s’est développée petit à petit : la première année, elle se tenait dans une petite salle alors que cette année nous avons pu avoir la salle de spectacle de l’université, d’une capacité de 800 places.
Le programme dure environ 2 heures. Tout d’abord je présente la langue française, Le Mans et l’Université du Maine. Cette année, deux étudiants jouaient de l’accordéon pendant que les photos défilaient.
Puis des étudiants venant de tous les parcours (Linguistique Française, Journalisme et Médias, Relations Internationales...) effectuent des numéros, comme par exemple l’interprétation de sketchs :
- La chanson « Tout va très bien Mme la Marquise » mise en scène.
- « Pourquoi l’amour est aveugle ? » : 12-13 personnes participaient et interprétaient les sentiments personnifiés (folie, amour, envie...) pour conclure que l’amour est aveugle et que la folie l’accompagne partout.
Ensuite, c’est le temps des chansons interprétées par un chœur de 30 personnes.
C’est un évènement qui demande beaucoup de préparation et de motivation de la part des étudiants. Comme ils viennent de facultés différentes, il faut trouver des créneaux horaires qui correspondent à tout le monde pour les répétitions et c’est une opération difficile. Cependant, la motivation est très grande et on le voit dans le résultat.
Comment les étudiants ont-ils appris le français avant de venir à l’Université du Maine ?
Ils ont eu des cours particuliers le soir à raison de 3h trois ou quatre fois par semaine. Cela a bien fonctionné et a même permis à certains de changer de spécialité une fois arrivé au Mans. Ainsi au lieu de se retrouver en énergétique, certains se sont retrouvés en acoustique, formation très réputée de l’Université du Maine.

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>>>> الرد الخامس :

interview avec sheryfa luna
Public : Comment avez-vous célébré cette victoire ?
Sheryfa : Très calmement, alors que d'habitude, je suis plutôt expansive. Mais j'ai envie de saisir la chance extraordinaire qu'on m'a donnée...
Public : On dit que la chanteuse Diam's aurait influencé le jury...
Sheryfa : Je n'y crois pas ! Diam's, je ne l'ai rencontrée qu'une seule fois, nous sommes allées au resto. Je ne peux pas dire qu'on est amies, je n'ai même pas son numéro de portable.
Public : Vous êtes-vous inspirée de son look ?
Sheryfa : Je voulais une coupe courte et la sienne me plaisait. Mais je ne suis pas fan d'elle au point de tout faire pour lui ressembler ! (Rires.)
Public : Les précédents groupes issus de Popstars ont eu une existence assez éphémère... Pensez-vous avoir plus de chance qu'eux ?
Sheryfa : Ma chance, ce n'est pas seulement avoir gagné la quatrième édition de Popstars mais une nouvelle émission hip-hop et R&b qui touche beaucoup plus de gens.
Public : Votre copine, Ibtisame, a participé à votre album Garder cette vie qui sort le 19 novembre prochain ?
Sheryfa : Oui, elle a seulement fait un interlude mais ce n'est que partie remise car nous avons des projets ensemble.
Public : Comment abordes-vous ce virage dans votre vie ?
Sheryfa : Confiante et déterminée ! En fait, ce sont surtout mes parents qui sont inquiets...
Public : Vous vivez avec eux ?
Sheryfa : Non, j'ai mon petit appart...
Public. . que vous partagez avec votre petit ami ?
Sheryfa : (Rires.) Non, je suis célibataire... Avoir un petit copain n'est pas ma priorité en ce moment.


Interview avec Cheb Khaled


Le moment fort du festival, c’était samedi soir, place Bab Marrakech. Une foule impressionnante a assisté à une fusion assez inédite qui a réuni le prestigieux Orchestre de la radio allemande, WDR, Maâlem Hamid El Kasri et Cheb Khaled.
Nous avons rencontré le roi du raï qui est revenu cette nouvelle expérience musicale. Interview :

Décidément vous avez le Maroc dans la peau…

En effet, j’étais à Rabat (Mawazine) il y a pas longtemps, Oujda la semaine dernière, Agadir est ma prochaine étape. Mais je serai aussi en Algérie bientôt. Et tous ces lieux sont les même pour moi. C’est un chez moi dont je prends soin. Il ne faut jamais oublier d’où on vient.

Qu’est ce qui a motivé cette fusion avec les gnaouas ?

Vous savez, je n’arrête pas d’harceler les gens quant j’aime quelque chose. J’aime la musique gnaoua mais je n’ai jamais été invité au festival d’Essaouira. Il fallait que ça arrive. Karim Ziyad m’a finalement contacté pour me demander si je pouvais faire cette fusion (avec Orchestre de la radio allemande, WDR et Hamid El Kasri). J’ai répondu que pour rien au monde je ne raterai ça.


Comment s’est passée la résidence avec les musiciens ?

On avait assez peu de temps mais qu’importe. Ce n’était pas réfléchi, plutôt intuitif. J’ai choisi quelques titres et les gnaouis ont vite intégré le rythme. La musique est universelle. Quand elle vient du cœur on a pas besoin d’établir de plan il suffit de jouer, le reste vient tout seul


Du raï gnaoui, c’est quand même pas une mince affaire…

C’est vrai mais le festival est fait pour ça. Cela fait déjà douze ans qu’ici on fusionne les genres. Là il était question de libérer encore plus les esprits en introduisant une thématique de plus qui est le raï de Khaled. La musique existe pour que ce genre d’aventure soit réalisé.


Il n’y a pas eu d’entrave sur le plan purement musical ?

On y ai allé doucement en essayant de ne pas agresser les oreilles et je crois que ça a fonctionné. Je refuse de voir de la fermeture dans la musique. Pas de racisme (large sourire) en musique, que de là mixture. Le festival gnaoua, c’est ça. Un mariage de cultures.


On aura donc encore plus de gnaoua dans les prochains albums

C’est déjà fait dans mon dernier album « Liberté » mais c’est sûr, avec cette expérience, j’en rajouterai. L’important dans ça c’est faire découvrir aux gens qui m’écoute un peu partout dans le monde la richesse de notre patrimoine musical qu’il malhoun, chaâbi ou gnaoui

Interview de Ziani pour Eurosport


Karim Ziani est le nouvel homme fort de l'OM. Repositionné dans un rôle plus défensif, il s'intègre parfaitement dans le système d'Eric Gerets. La réception de Nancy lui offre la possibilité de confirmer sa bonne passe actuelle, d'en "faire encore plus" et de finir l'année en beauté.

KARIM ZIANI, l'OM a tenu le choc à Lyon dimanche dernier (0-0). Ce match vous a-t-il fait prendre conscience de la possibilité de passer devant les Lyonnais ?
K.Z : Pour le moment, aucune équipe n'a réussi à passer devant Lyon au classement. On dit que le championnat est plus serré cette saison, mais l'OL est toujours leader. Et c'est ce cap-là le plus difficile à passer.
Néanmoins, avoir tenu tête aux Lyonnais doit-être une satisfaction pour vous ?
K.Z : Aujourd'hui, on est revenu à trois points de Lyon. Surtout, on ne perd plus de match. C'est le gros point positif.
Depuis quelques matches, Eric Gerets semble plus tranquille sur son banc de touche. Marseille a-t-il enfin trouvé une certaine forme de sérénité dans le jeu ?
K.Z : On a trouvé davantage de stabilité. Notre bloc est plus solide, c'est ce qui nous faisait défaut auparavant. On pouvait mener 2-0 mais on se faisait rejoindre voir dépasser. Malgré tout, nous n'avons pas encore réussi à trouver l'équilibre entre très bien défendre et très bien attaquer.
La blessure de Mamadou Niang handicape l'équipe. Comment pallier son absence ?
K.Z : C'est vrai que c'est dur de jouer sans lui. Il est très important dans l'équipe. Car nous n'avons pas de joueur capable d'évoluer en pointe avec un profil identique. Baky (Koné) joue dans les espaces alors que Mamadou (Niang) est plus puissant. Quand on peut aligner les deux joueurs ensemble, c'est parfait. Les équipes adverses ne savent plus comment faire. S'il n'y a que Baky, les défenses reculent de dix mètres. Et c'est plus difficile pour nous de le trouver car les espaces se réduisent entre les défenseurs et le gardien. On joue alors dans les pieds. Ce qui oblige plusieurs joueurs à décrocher et on manque alors de profondeur.
Dimanche, l'OM reçoit Nancy pour le dernier match de l'année. Les Lorrains sont moins en réussite que l'an passé. Comment l'expliquez-vous ?
K.Z : La saison dernière, ils s'appuyaient sur Kim pour lancer leurs contres. Leur bloc défensif était bien au point et ils comptaient beaucoup dessus. Mais ça passe un an ou deux et cette saison, ils doivent commencer à jouer au football. Produire du jeu pour espérer rester en haut du classement. Ce n'est pas facile.
Vous risquez de vous retrouver face à une équipe à nouveau très défensive. Comment contourner ce bloc ?
K.Z : Même si Kim n'est plus là, l'équipe est plus ou moins la même que l'an passé. Elle est donc restée de bonne qualité. Il faudra faire attention car Nancy est difficile à manoeuvrer. A domicile, on joue souvent contre des équipes très regroupées derrière. C'est difficile. Mais nous ne pouvons pas non plus jouer trop offensif. اa fait des embouteillages devant et on ne peut plus jouer. Mon rôle n'est d'ailleurs pas de me retrouver automatiquement devant, je dois rester le plus souvent au milieu de terrain pour organiser le jeu.
L'an passé, vous faisiez plus partie de la catégorie des flops que des tops. Cette saison, c'est l'inverse. Comment expliquez-vous cette métamorphose ?
K.Z : J'ai bossé pour en arriver là. C'est bien, mais je peux faire encore plus !
Plus globalement, comment jugez-vous la première partie de saison de l'OM ?
K.Z : On a vécu beaucoup de mauvaises choses sur le plan extra-sportif : des galères comme l'accident du car de supporters, l'emprisonnement de Santos et le décès du frère d'Elamine Erbate. Mais sur le plan sportif, on a pu rattraper certaines choses. اa s'équilibre un peu, même si ces catastrophes ne s'effaceront jamais?

Interview de Ziani pour Eurosport


Karim Ziani est le nouvel homme fort de l'OM. Repositionné dans un rôle plus défensif, il s'intègre parfaitement dans le système d'Eric Gerets. La réception de Nancy lui offre la possibilité de confirmer sa bonne passe actuelle, d'en "faire encore plus" et de finir l'année en beauté.

KARIM ZIANI, l'OM a tenu le choc à Lyon dimanche dernier (0-0). Ce match vous a-t-il fait prendre conscience de la possibilité de passer devant les Lyonnais ?
K.Z : Pour le moment, aucune équipe n'a réussi à passer devant Lyon au classement. On dit que le championnat est plus serré cette saison, mais l'OL est toujours leader. Et c'est ce cap-là le plus difficile à passer.
Néanmoins, avoir tenu tête aux Lyonnais doit-être une satisfaction pour vous ?
K.Z : Aujourd'hui, on est revenu à trois points de Lyon. Surtout, on ne perd plus de match. C'est le gros point positif.
Depuis quelques matches, Eric Gerets semble plus tranquille sur son banc de touche. Marseille a-t-il enfin trouvé une certaine forme de sérénité dans le jeu ?
K.Z : On a trouvé davantage de stabilité. Notre bloc est plus solide, c'est ce qui nous faisait défaut auparavant. On pouvait mener 2-0 mais on se faisait rejoindre voir dépasser. Malgré tout, nous n'avons pas encore réussi à trouver l'équilibre entre très bien défendre et très bien attaquer.
La blessure de Mamadou Niang handicape l'équipe. Comment pallier son absence ?
K.Z : C'est vrai que c'est dur de jouer sans lui. Il est très important dans l'équipe. Car nous n'avons pas de joueur capable d'évoluer en pointe avec un profil identique. Baky (Koné) joue dans les espaces alors que Mamadou (Niang) est plus puissant. Quand on peut aligner les deux joueurs ensemble, c'est parfait. Les équipes adverses ne savent plus comment faire. S'il n'y a que Baky, les défenses reculent de dix mètres. Et c'est plus difficile pour nous de le trouver car les espaces se réduisent entre les défenseurs et le gardien. On joue alors dans les pieds. Ce qui oblige plusieurs joueurs à décrocher et on manque alors de profondeur.
Dimanche, l'OM reçoit Nancy pour le dernier match de l'année. Les Lorrains sont moins en réussite que l'an passé. Comment l'expliquez-vous ?
K.Z : La saison dernière, ils s'appuyaient sur Kim pour lancer leurs contres. Leur bloc défensif était bien au point et ils comptaient beaucoup dessus. Mais ça passe un an ou deux et cette saison, ils doivent commencer à jouer au football. Produire du jeu pour espérer rester en haut du classement. Ce n'est pas facile.
Vous risquez de vous retrouver face à une équipe à nouveau très défensive. Comment contourner ce bloc ?
K.Z : Même si Kim n'est plus là, l'équipe est plus ou moins la même que l'an passé. Elle est donc restée de bonne qualité. Il faudra faire attention car Nancy est difficile à manoeuvrer. A domicile, on joue souvent contre des équipes très regroupées derrière. C'est difficile. Mais nous ne pouvons pas non plus jouer trop offensif. اa fait des embouteillages devant et on ne peut plus jouer. Mon rôle n'est d'ailleurs pas de me retrouver automatiquement devant, je dois rester le plus souvent au milieu de terrain pour organiser le jeu.
L'an passé, vous faisiez plus partie de la catégorie des flops que des tops. Cette saison, c'est l'inverse. Comment expliquez-vous cette métamorphose ?
K.Z : J'ai bossé pour en arriver là. C'est bien, mais je peux faire encore plus !
Plus globalement, comment jugez-vous la première partie de saison de l'OM ?
K.Z : On a vécu beaucoup de mauvaises choses sur le plan extra-sportif : des galères comme l'accident du car de supporters, l'emprisonnement de Santos et le décès du frère d'Elamine Erbate. Mais sur le plan sportif, on a pu rattraper certaines choses. اa s'équilibre un peu, même si ces catastrophes ne s'effaceront jamais?




منقول للافادة


:1 9: :ة3شكراااااا جزيلااا جزاك الله الف خير هدا ما كنت ابحث عنه شكرا اختى hiba


svp je vx un essay sur l'importance d'apprenddre les langue (text argumentative)

:1 9: :ة3شكراااااا جزيلااا جزاك الله الف خير هدا ما كنت ابحث عنه شكرا اختى hiba

pas de quoi rana kamal hna bach nat3awnuu